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Ecologie



  • L’empreinte humaine sur l’environnement doit être des plus faibles.
  • Considérant que la meilleure énergie est celle que l’on ne consomme pas, l’effort doit être porté, en priorité, à la réduction des consommations énergétiques. Les savoir-faire populaires et la culture régionale doivent être au cœur de la transition énergétique ;
  • Dans le cadre de la lutte contre les effets de serre, c’est tout le modèle des transports polluants qu’il faut revoir. Nos métropoles régionales doivent opérer à ce niveau une véritable révolution vers des modes doux, des énergies et des formes de motricité alternatives ;
  • La sortie du tout nucléaire et des énergies fossiles est à terme un impératif. La viabilité d’une telle politique repose sur la valorisation des énergies renouvelables, une consommation plus mesurée et l’autonomie énergétique des régions. Cette politique doit être portée par des élus, responsables devant les citoyens et non plus par les seuls services déconcentrés de l’État ;
  • Le principe pollueur / payeur doit être institutionnalisé et conséquent.